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« Ou bien Dilma Rousseff reste en place, mais et très affaiblie par ses affaires et d'autres affaires, est très affaiblie par une crise économique qui se prolonge, le chômage qui augmente, l'inflation qui devient importante, ou bien elle saute. Alors elle saute de deux manières : ou bien parce qu'elle est destituée de son mandat, ça, ça serait pour des irrégularités de ses comptes de campagne ou bien parce qu'elle n'aurait pas bien gérée l'argent public et ça c'est uniquement l'empeachment, une destitution de la présidente et non pas du vice-président or c'est pas le même scénario... » précise Stéphane Monclaire, politologue, maître de conférences à l’Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne, spécialiste du Brésil.