« Cette affaire Morano est une illustration, comment dire, anecdotique, d'un problème beaucoup plus profond qui est le tiraillement de la droite entre une droite qui veut faire du Le Pen light sur les sujets Islam, arabes, identité, immigration, insécurité - c'est-à-dire prendre des positions de type Jean-Marie Le Pen, modérées d'un ton ou deux - et puis une droite qui, elle, dit qu'un tel discours est incompatible avec les valeurs de la droite Républicaine et donc, si vous me passez l'expression, qui dit : "No pasaran". »