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« Air France mentionne qu'elle à 50% de ses lignes rentables sur le long-courrier, un taux que la compagnie voudrait porter à 80%. C'est ce que l'on retrouve dans de nombreuses compagnies aériennes, beaucoup plus de lignes rentables que non-rentables. Le risque, c'est l'enjeu de réussir avec moins d'offres, donc avec moins de passagers, une présence commerciale un peu plus faible, et donc réussir à rebondir », souligne Didier Bréchemier, consultant dans le domaine des transports au cabinet Roland Berger.