Berlin mobilisé pour les réfugiés

 Les opinions publiques sont elles en train de bouger ? En tout cas en France, désormais une petite majorité de citoyens, 53% se dit favorable à l’accueil des migrants. Interrogés en aout dernier, les allemands eux, se disaient, à 76 %, pour l’arrivée de réfugiés fuyant un pays en guerre. A Berlin, de nombreux quartiers se mobilisent. Et après la générosité, vient l’heure de la logistique et de l’organisation. Pas simple dans un pays qui accueillera sans doute cette année 800 000 réfugiés. A Berlin reportage signé Julien Méchaussie.

 

L’Europe a-t-elle un cœur ?
Un cœur géographique….Et si oui, où se trouve-t-il ? Peu d’Européens le placeraient dans l’ouest de l’Ukraine. Et pourtant, dans les montagnes des Carpates, on trouve un petit monument dressé par des géographes autrichiens au 19ème siècle qui célèbre le centre géographique du continent. Destination touristique, plus que vérité géographique sans doute. Sébastien Gobert s’y est rendu pour nous.

Les nouveaux temples de la consommation en Turquie
Oubliez le charme des ruelles du grand bazar d’Istanbul. La Turquie vit aujourd’hui à l’heure des centres commerciaux à l’américaine, symboles de la croissance économique du pays.
Une certaine catégorie de touristes en raffolle, tout comme la classe moyenne qui vient y passer une après-midi de détente en fin de semaine. Mais ces temples de la consommation sont-ils devenus trop nombreux ? Et quels changements introduisent-ils dans la société ? C’est le reportage d’Anne Andlauer.

Ruines new-age en Sicile
Certains l’appellent déjà la petite Pompei de Sicile. Le village de Pioggoreale, n’a pas été recouvert par la lave, mais détruit par un tremblement de terre en 1968. Aujourd’hui les habitants voudraient en faire un centre  touristique atypique. Visite avec Cecile Debarge.

La chronique musique de Vincent Théval
Farao... C’est sans doute l’une des plus belles révélations pop de l’année. Comme son nom l’indique assez peu, il s’agit du projet solitaire d’une jeune norvégienne, Kari Jahnsen, qui a grandi dans le petit village de Ulnes mais vit depuis 4 ans à Londres, où elle a exercé ses talents de bassiste et de batteuse au sein de différents groupes, tout en écrivant ses propres morceaux. C’est aussi à Londres qu’elle rencontre le musicien Mike Lindsay, du groupe Tunng, qui accepte d’enregistrer le premier album de Farao, non pas en Angleterre mais en Islande, où il vit désormais. Sur Till It’s All Forgotten, Kari Jahnsen joue de presque tous les instruments au fil de chansons à la fois évidentes et aventureuses, où sa voix et des arrangements foisonnants font merveille.

 

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