« Une réforme de gauche, c’est une réforme qui amène des protections nouvelles. Je n'imagine pas que ce ne soit pas le cas »
« Aujourd’hui, le Code du travail protège-t-il réellement ? Est-il d’abord connu ? De qui est-il connu ? Des salariés, non ! On a un code du travail qui, aujourd’hui, est absolument démesuré et qui n’est plus qu’une affaire de spécialistes. »
Il estime cependant qu'il « n'est pas possible » d'élargir la place des accords d'entreprise « en bradant » les protections du code du travail. « Il n'y aura aucun bradage des protections qui sont assurées aux salariés », a-t-il dit.
Sur la question des 35 heures et du seuil de déclenchement des heures supplémentaires majorées:
« Le président de la République a dit, et je m'en félicite, que nous ne toucherions pas aux 35 heures et donc je vais être clair: la 36e heure, c'est le déclenchement de l'heure payée comme heure supplémentaire ».
Bruno Le Roux souhaite la fermeture de Fessemheim avant la fin du quinquennat:
« Moi, je souhaite qu'elle ferme avant la fin du quinquennat, d'abord pour que nous respections notre engagement, et que nous nous inscrivions totalement dans la loi que nous avons votée sur la transition énergétique. »
« On sait qu'il y a des retards sur Flamanville, est-ce que ces retards doivent aussi entraîner des retards sur la fermeture de Fessenheim? J'espère que non, je souhaite que non. »