Affaire Tarnac: la qualification «terroriste» abandonnée

L’affaire de sabotages de voies SNCF, dite «affaire de Tarnac», a connu un impressionnant retournement de situation. Après sept ans d’une enquête très médiatisée, la juge antiterroriste a décidé de ne pas suivre le réquisitoire du parquet. Elle a renoncé à ce que la circonstance aggravante « d’entreprise terroriste » soit retenue à l’encontre de huit militants libertaires, dont Julien Coupat. Ils sont renvoyés en correctionnelle pour « association de malfaiteurs ».

Partager :