« Détruire les bateaux de passeurs n’est pas une mesure à la hauteur du problème. Des centaines de milliers de personnes utilisent la Libye comme point de départ parce qu’elles n’ont pas d’autre destination possible, elles n’ont pas d’autre moyen que de recourir aux passeurs. C’est une mesure qui est inadaptée à la hauteur du problème et qui ne fera que déplacer les départs et contribuer encore à la vulnérabilité des migrants en Libye. »