De Gorbatchev à Poutine, de l’ouverture au repli

Il y a trente ans, presque jour pour jour, Mikhaïl Gorbatchev arrivait à la tête de l’URSS, avec un programme qui tenait en deux mots : glasnost et pérestroïka (transparence et reconstruction). Le dernier président de l’Union Soviétique qui mit fin à la Guerre froide fut adulé en Occident. Il symbolisa l’ouverture de cet immense pays vers plus de liberté, plus de démocratie et un certain regard vers l’Ouest. Trente ans plus tard, Vladimir Poutine après deux guerres en Tchétchénie, l’annexion de la Crimée et un conflit larvé en Ukraine, remet au goût du jour un pouvoir autoritaire en plein repli identitaire.

Avec :  

 

- Bernard Lecomte, journaliste et écrivain. Son dernier livre « Gorbatchev » chez Perrin.

Plus d’infos : ici 

 

- Anne de Tinguy, professeur à l'INALCO et chercheur à Sciences po-CERI.

Plus d’infos : ici  

 

- Michel Eltchaninoff, professeur de philosophie. Son dernier livre « Dans la tête de Vladimir Poutine » chez Actes Sud.

Plus d’infos : ici 

 

 

 

 

- Olga Kokorina, porte-parole de l’association « Russie Libertés », co-auteure de « Les autres visages de la Russie » aux éditions Les Petits Matins.

Plus d’infos : ici  

 

 

 

 

Le regard de Laurence Habay de Courrier International

 

 

Et le Buzz de Maria Afonso. 

 

Partager :