Lalatiana Rakotondrazafy, secrétaire générale du syndicat de la presse

Le Cap océan Indien est consacré cette semaine au travail des journalistes à Madagascar. L'été dernier, un ministre ordonnait l'arrestation de deux d'entre eux, accusés de diffamation. Les manifestations répétées ont obligé les autorités à faire marche arrière. Mais six mois après, et alors que le code de la communication, code qui va régir les droits des journalistes, est en cours d'élaboration, les pressions contre les journalistes se multiplient. Lalatiana Rakotondrazafy, secrétaire générale du syndicat de la presse, répond à Guillaume Thibault.

« Je me pose des questions sur la manière dont on perçoit la notion de liberté d'expression à la tête de l'Etat. On n'a pas la même conception de la liberté de presse, de la liberté d'opinion en général. »

Partager :