Tania Diolle : «Nous sommes à un tournant de notre démocratie»

A Maurice, le Parlement ne siège pas. Et en même temps, le leader de l’opposition, Paul Bérenger, négocie une alliance avec le parti du Premier ministre, Navin Ramgoolam. Face à ce cafouillage politique et institutionnel, faut-il dissoudre le Parlement et appeler le pays aux urnes ? Abdoollah Earally s’est entretenu avec Tania Diolle, chargée de cours en Sciences politiques à l’Université de Maurice.

« Il faut une dissolution, un renouveau (parlement). Il faut des élections, un nouveau gouvernement, une nouvelle opposition et redéfinir les paramètres... Quand on voit comment l’opposition de la rue grandit, c’est mauvais signe. »

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