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Ce 25 avril est la Journée mondiale de lutte contre le paludisme. La maladie tue chaque année 660 000 personnes, surtout des enfants vivant en Afrique. Si des progrès ont été réalisés dans l’accès aux moustiquaires et aux médicaments, du côté de la recherche sur le vaccin, c’est plutôt la déception ; du moins pour ce qui est du candidat-vaccin le plus avancé, élaboré par le géant pharmaceutique GSK. Selon une étude récente, il a une efficacité de seulement 30% à 50%, qui diminue rapidement dans le temps. Mais une autre piste émerge, qui relance l’espoir. Elle est explorée par une équipe française.