Par Mousshine Ennaimi.
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Ils ne sont pas forcément aisés, ni fascinés par l'Occident. Ils ont entre 20 et 25 ans et pratiquent des sports ou des disciplines peu conventionnelles, que l'on aurait du mal à s'imaginer à Gaza, tant cette partie du monde est associée à la guerre, la misère et l'occupation. Ils sont surfeurs, break-danseurs ou encore adeptes du parkour. Ils vivent leur passion malgré la difficile situation politique dans cette enclave palestinienne. Comment ces jeunes trouvent-ils une échappatoire au blocus israélien ? Aux autorités des islamistes au pouvoir ?
Par Mousshine Ennaimi.