Quatre produits sur les 256 identifiés ont été passés au crible : chaussettes antibactériennes, crèmes solaires et ciment contenant des nanoparticules de dioxyde de titane, ainsi que des produits alimentaires (sel, sucre) contenant de la silice.
Si 10% des chaussettes vendues en France contenaient des particules de nanoargent, ce sont «18 tonnes d'argent [qui] seraient rejetées chaque année dans les eaux superficielles », selon Dominique Gombert, chef du département d'expertise de l'Afsset. L'action anti-bactérienne du nanoargent peut entraver le fonctionnement des stations d'épuration.