Selon Benoît Legresy, cette rupture s'explique par le cycle naturel du glacier qui développe une langue de glace « qui pousse d'une peu plus de 1 km par an sur l'océan.» Le chercheur estime « qu'il n'y pas d'impact direct du réchauffement sur ce cas-là, mais cela offre un laboratoire unique pour identifier les mécanismes à l'oeuvre ».