Avec notre correspondant à Tokyo, Frédéric Charles
Julie Hamp, une New-Yorkaise de 55 ans, est la première femme, qui plus est une étrangère, à être nommée pour la première fois de l’histoire de Toyota au niveau le plus élevé de la hiérarchie du groupe, dans le souci de diversifier sa direction, notamment à l’international.
La douane japonaise a saisi un paquet qui lui était adressé. Sur l’étiquette précisant le contenu était écrit : « des colliers ». A l’intérieur étaient dissimulées dans de petites boîtes, 57 pilules d’oxycodon.
Ce médicament a un pouvoir euphorisant et des effets addictifs. Il est utilisé pour soulager des douleurs extrêmes. Sa prescription au Japon est très encadrée. Il peut être importé, mais nécessite une approbation préalable du ministère de la Santé.
Julie Hamp nie toute infraction à la législation japonaise sur les stupéfiants. Le Japon a une législation anti-drogue très sévère. Il bannit des médicaments qui sont couramment disponibles dans d’autres pays.