Avec notre correspondant à Bombay, Sébastien Farcis
Le premier privilège dont a bénéficié Valérie Trierweiler est le fait que ce soit l'ambassadeur de France en personne, François Richier, qui soit venu de New Delhi pour accueillir l'ex-Première dame à l'aéroport de Bombay. Cette dernière, habillée d'un manteau bleu marine à sa sortie du terminal, était également accompagnée de son directeur de cabinet à l'Elysée, Patrice Biancone et d'un garde de sécurité de l'Etat français. Et elle s'est engouffrée, après avoir passé la forêt de journalistes présents, dans une Jaguar noire.
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C'est la dernière fois qu'elle bénéficie de ces privilèges, qui ont, du reste, été réduits par rapport à ceux attribués ordinairement à une Première dame. Il est important de noter que son billet d'avion, comme ses nuits à l'hôtel de luxe du Taj Mahal, sont offerts par Air France et le groupe indien Tata.
Pas de dispositif particulier
Les autorités indiennes, de leur côté, n'ont déployé aucun dispositif particulier, affirmant que ce voyage est réalisé à titre privé. Ce qui leur a évité un beau casse-tête protocolaire dans ce pays aux mœurs bien plus conservatrices qu'en France. Valérie Trierwieller est ici pour soutenir le lancement d'une association indienne partenaire d'Action contre la faim. Et s'envolera pour la France mardi dans la nuit.