Avec notre correspondante à Washington, Anne-Marie Capomaccio
L’administration américaine explique qu’il ne s’agit pas d’une opération d’espionnage, que tout a été fait dans en respectant les règles, et surtout, sans contrôle des Etats-Unis sur les contenus échangés par les Cubains.
Le réseau social a été lancé après l’arrestation d’Alan Gross à La Havane. Cet homme d’affaires américain, accusé d’avoir fourni du matériel informatique à des opposants au régime castriste, a été condamné à 15 ans de prison.
Et c’est dans le but de développer la liberté de l’information que ce « twitter cubain » a été créé par l’agence de développement américaine, explique le porte-parole de la Maison Blanche.
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