C’est la quatrième fois consécutive que la société civile bat le pavé dans les rues de la capitale. Après certains syndicats, elle vient de recevoir le soutien des partis politiques de l’opposition.
« L’Etat doit revenir en arrière. Après presque dois de mise en œuvre, nous pensons que la pression populaire va contraindre le gouvernement à revenir à de meilleurs sentiments », a déclaré le leader de l’opposition, Soumana Sanda.
Beaucoup de retraités étaient également visibles parmi les manifestants qui demandaient notamment le retrait des petites taxes de la loi des finances.
Dimanche prochain, ce sera au tour de la mouvance présidentielle de faire sa démonstration de force.