Parmi les quatre jihadistes présumés à l'origine de cette attaque, deux ont été abattus et un troisième, grièvement blessé, a été hospitalisé, a ajouté le ministère dans un communiqué. Le dernier « terroriste » est en fuite et des opérations de ratissage sont en cours, a-t-on précisé.
L'attaque s'est produite le dimanche 12 mars vers 1 h du matin : les quatre jihadistes circulant à moto ont ouvert le feu contre un point de contrôle tenu par trois policiers à bord de leur véhicule.
Motos équipées d'explosifs
Un jihadiste a tenté - sans succès - de déclencher des explosifs, a affirmé un témoin à la radio privée Mosaïque FM.
Le ministère de l'Intérieur a indiqué de son côté que les motos étaient équipées d'« engins explosifs de fabrication artisanale».
(avec AFP)