Ils sont environ 8000 à attendre que la route soit sécurisée et encadrée par les militaires pour quitter la ville. Souffrant des attaques répétées des milices anti-balaka, ils préfèrent attendre que la situation s’améliore pour partir. Mais les conditions de vie autour de la mosquée sont difficiles et, parmi les enfants, certains sont dans un état de santé inquiétant.