L'opération aérienne et terrestre a été menée conjointement par l'armée et la police. Sur une cellule estimée à une vingtaine d'hommes armés, quatre ont été arrêtés, neuf autres tués. Le ministère de l'Intérieur assure qu'ils appartiennent au mouvement jihadiste Ansar al-Charia, classé groupe terroriste fin août.
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Les autorités annoncent par ailleurs la prise de deux tonnes d'ammonitrate, d'engrais et de persticides pourvant servir à la fabrication d'engins explosifs, découverts dans les deux maisons servant de refuge à ces terroristes.
« Cellules dormantes »
Cette opération est considérée comme une réussite par le ministère de l'Intérieur. Pourtant deux gendarmes ont été tués par balles jeudi par les terroristes pourchassés et depuis, cinq soldats et gendarmes ont été blessés.
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Le ministère dit s'attendre à de nouvelles pertes dans les rangs des forces de l'ordre et rappelle que « le danger terroriste existe toujours », soulignant l'existence de « cellules dormantes ».