A cause des pénuries d’eau, à cause de la mauvaise qualité de l’eau, près d’un Africain sur deux souffre d’au moins d’une des six maladies d’origine hydrique comme les diarrhées et le choléra. Evidemment, c’est plus désastreux au village qu’en vile. Pas assez de points d’eau, absence de réseaux d’évacuation des eaux usées, absence souvent des latrines. On va dans la nature environnante.
En saison pluvieuse, les eaux de ruissellement amènent ces excréments dans les points d’eau. Chaque année, 2,2 millions d’Africains en sont victimes. Ces épidémies surviennent chaque année au moment des travaux des champs c’est-à-dire au moment où on a besoin de force pour travailler. Un parent malade c’est une dépense que le budget familial ne peut soutenir.
Au moment des récoltes, on se retrouve avec une production recouvrant à peine qulques mois de consommation. On vend donc du bétail qui constitue une épargne pour survivre.
Au Forum de Dakar, un message : il faut que les Etats investissent dans le sercteur de l’eau et de l’assainissement.