Vital Kamehre, aujourd’hui candidat à la présidentielle sous la bannière de son propre parti, l'UNC, l'Union pour la nation congolaise découvre comme tout le monde les révélations de WikiLeaks. Tout en affirmant n’accuser personne, il fait remarquer tout de même qu’il avait été poussé à la démission et que l’opération avait pris 58 jours. La réaction des personnes incriminées seront pour lui une indication.
A ces propos Lambert Mendé, le ministre congolais de la Communication réagit. Pour lui, obtenir le départ du président de l’Assemblée nationale ne nécessitait pas une telle opération. Il dément ses « révélations » en affirmant que le président Kabila « n’est pas quelqu’un qui distribue de l’argent ».