Mercredi dernier, Le porte-parole du gouvernement, Fidèle Ngouandjika a expliqué que cette mesure avait été décidée à la demande du président de la CEI pour envoyer un message aux commissaires accusés de ne pas faire leur travail : « Les commissaires seront libérés quand le travail sera fini. Après tout ils sont payés pour cela », avait-il lancé.
Ce jeudi, l'ancien président Patassé qui est candidat à la présidentielle, sort de son silence, pour une interview exclusive à RFI dans laquelle il condamne cette action de force.
Ange-Félix Patassé propose une réunion d'urgence de tous les candidats pour redresser la barre et sauver le processus électoral.