Une étude française révèle que l’assistance médicale à la procréation (PMA) augmenterait les risques d’anomalies cardiaques et urinaires ou encore d’angiomes cutanés. Un risque qui, selon ces résultats présentés dernièrement au congrès européen de génétique humaine en Suède, concerne plus de 4 % des enfants nés grâce à une PMA soit deux fois plus que dans la population courante. Des chiffres pourtant que certains n'estiment pas suffisamment représentatifs.
La France s’intéresse depuis peu à ce problème comparativement aux pays d’Europe du Nord, des Etats-Unis, du Canada et encore de l’Australie.
Quant aux premiers enfants suivis à Marseille, ils entrent progressivement dans l’adolescence et ne présentent pas plus de difficultés que les autres et c’est le plus important aux yeux du Dr Boyer.