20h05 TU : Le président kenyan Mwai Kibaki s'est déclaré en faveur de l'existence de deux Etats : Israël et la Palestine.
19h15 TU : Le Premier ministre turc Erdogan devant l'Assemblée générale des
Nations unies : « Il est nécessaire de faire pression sur Israël pour faire la paix » avec les Palestiniens. Le chef du gouvernement turc a affirmé qu'un Etat de Palestine « doit être reconnu par les Nations unies ».
18h35 TU : Le président du Conseil européen Herman Van Rompuy appelle à la reprise des négociations directes entre Israël et les Palestiniens.« Maintenant la reprise des discussions directes entre Israël et l'Autorité palestinienne est la toute première priorité », a t'il déclaré devant l'Assemblée générale de l'ONU. Il n'a par contre pas évoqué les propositions de Nicolas Sarkozy et a rappelé que l'Union européenne soutenait financièrement la construction d'un Etat par l'Autorité palestinienne.
18h05 TU David Cameron, Premier ministre britannique commence son allocution à l'ONU en évoquant la Libye et le Printemps arabe qui montrent aux Nations unies la nécessité de travailler autrement. Il évoque la responsabilité de l'ONU pour se dresser contre les régimes qui persécutent les populations et fait référence à la Syrie. Il soutient les Palestiniens et leur droit de vivre dans un Etat à eux.
17h05 TU Le président iranien Mahmoud Ahmadinejad s'adresse aux chefs d'Etat réunis à cette 66ème session des Nations unies. Ahmadinejad déclare que « des puissance arrogantes menacent quiconque met en doute la shoah et les attentats du 11-septembre ». La délégation américaine quitte la salle. Les délégations de l'Union européenne font de même.
16h45 TU Sebastian Pinera, le président du Chili s'exprime à la tribune. Il apporte le soutien du Chili, à la création d'un Etat palestinien, libre, souverain et démocratique.
16h10 TU Alassane Ouattara prend la parole. Il s'exprime pour la première fois en tant que président de la Côte d'Ivoire à la tribune de l'ONU. « La paix va de pair avec un développement équilibré », a-t-il dit. Le président ivoirien exprime sa volonté de lutter contre la violence dans son pays et de renforcer la sécurité dans le pays. « La réconciliation est la priorité de mon gouvernement », a réaffirmé Alassane Ouattara. Il a également expliqué que son ambition était de faire de la Côte d'Ivoire à l'horizon 2020, un pays émergent. L'allocution d'Alassane Ouattara s'est achevée sur ses mots : « La Côte d'Ivoire est l'amie de tous et l'ennemie de personne ».