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De nouveaux affrontements et des arrestations ont eu lieu jeudi 18 avril à Bahreïn. Les autorités font place nette à deux jours du Grand Prix de Formule 1. Une partie de la population a saisi l'opportunité de cet événement très médiatisé pour manifester dans la rue pour la démocratie. Des chiites, majoritaires et qui se sentent lésés, mais pas seulement, comme l'explique Saïd Youssef, le vice-président du Centre des droits de l'homme à Bahreïn.