Performances équestres, spectacle de kung-fu, concert de rock. C’est un son et lumière monumental qui attend ce soir les spectateurs de la Nuit de Chine. Un événement destiné à célébrer les relations diplomatiques franco-chinoises, mais qui entend aussi adresser un signal aux entrepreneurs et aux investisseurs chinois, comme l’explique son concepteur et l’ancien ministre de la Culture, Renaud Donnedieu de Vabres : « Aujourd’hui, le monde entier est en Chine. Donc la question est savoir comment le rester et comment valoriser nos atouts. »
Mettre en avant, à l’unisson, culture française et chinoise, montrer leurs influences croisées, tels sont les paris relevés par les organisateurs du spectacle. Un spectacle où les acrobaties des moines Shaolin succèdent donc aux chevaux du Français Bartabas, où le pianiste Henri Struck joue aux côtés de Jun Ling Yuang qui l’accompagne au guzheng, une cithare chinoise.
Un spectacle bicolore et biculturel à l’image des deux immenses rideaux de soie, l’un rouge, l’autre blanc, sous lesquels se déploiera la manifestation.
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Nuit de Chine, le 27 janvier à partir de 21 h au Grand Palais.