« Il y a eu un échange très violent entre le président de la Commission et le président français » sur la question des Roms, a affirmé Boyko Borissov. La Commission européenne soupçonne la France avec les renvois de Roms de ne pas respecter la législation européenne sur la liberté de circulation ds citoyens européens et a menacé Paris d'engager des poursuites devant la justice européenne.
Le Premier ministre bulgare a précisé que « rien n'a été décidé » au cours du sommet sur la question des Roms et que les dirigeants européens chercheront « lors d'un prochain sommet » de mettre au point « une stratégie sur le long terme pour trouver une solution à ce problème ».