« Les chiffres de la Préfecture de police et de la mairie de Paris sont complètement faux. Les [migrants] qui montent dans les bus, vont aller dans des centres d’examen. On va se rendre compte qu’ils n’ont pas le droit à l’hébergement […] et les gens sont pour la majorité remis à la rue et retournent dans les campements. Ce sont les mêmes personnes qui montent dans les bus chaque semaine. »