Avec :
- Akiko Suwa-Eisenmann est directrice de recherche à l'Institut National de la Recherche Agronomique, chercheuse et enseignante à l'École d'Économie de Paris. Ses travaux portent sur la libéralisation commerciale des pays en développement.
- Emmanuel Igah est Nigérian, docteur en Géographie économique et directeur général de Phobos, une société qui fait des relations publiques entre la France et le Nigeria.
- Grégoire Rota-Graziosi est professeur de Sciences économiques et directeur du CERDI, Laboratoire en Économie du Développement de l'Université Clermont Auvergne et du CNRS. Il est également co-responsable du programme de fiscalité de la FERDI, Fondation pour les études et recherches sur le développement international.
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Les Reportages de l'émission
Pour la Côte d'Ivoire, la locomotive économique de l'Afrique de l'Ouest, la Zone économique de libre-échange sera peut-être une bonne nouvelle. Mais pour l'instant, quand un journaliste tend son micro, c'est surtout la discrétion qui prévaut et les interlocuteurs qui acceptent de s'exprimer sont rares. Ecoutez ce reportage Éco d'ici Éco d'ailleurs signé Sidy Yansané à Abidjan.
Le Nigeria refuse toujours de rejoindre la majorité des pays africains. La première puissance africaine réclame des garanties sur la traçabilité de marchandises et services présumés produits en Afrique. Lors de son premier mandat, le président Muhammadu BUHARI a banni l'importation d'une cinquantaine de produits pour relancer et favoriser le Made in Nigeria. Comment s'explique cette position protectionniste défendue par le chef d'Etat nigérian Muhammadu BUHARI, c'est un reportage Éco d'ici Éco d'ailleurs signé Moïse Gomis à Abuja.
Au Burkina Faso, la zone de libre-échange continentale n’est encore bien connue par la majorité des acteurs de l’économie. C’est avec beaucoup de prudence que certains abordent le sujet. Les responsables de la Chambre du Commerce n’ont pas répondu aux sollicitations de notre correspondant et au ministère du Commerce, l’on se refuse d’en parler et préfère attendre que tout soit d’abord mis en place. Reportage signé Yaya Boudani.