Reportage de Vincent Dublange sur le musée Zoma d'Addis-Abeba. Le dernier né des lieux culturels de la capitale éthiopienne est un véritable havre de paix et vient tout juste d'ouvrir ses portes.
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Le wax est devenu une star mondiale de la mode, dont les plus grandes chanteuses ou actrices américaines sont littéralement tombées amoureuses que ce soit Nicki Minaj, Beyoncé, Kim Kardashian, Michelle Williams, Rihanna, Gwen Stefani, Jennifer Lopez, ou bien encore Katy Perry. Toutes se sont, un jour ou l’autre, affichées avec ce textile devant les photographes. D’Hollywood à Bamako, de Paris à Douala, d’Abidjan à New York, de Milan à Accra, de Cotonou à Londres, le wax est devenu un phénomène mondial, qui fait la couverture des magazines de mode ou de décoration, et a pris toute sa place dans les garde-robes féminines, mais aussi masculines. Comment a éclos et évolué cet engouement ? Que nous racontent ces imprimés qui en disent souvent très long ? On a coutume d’appeler le wax « tissu africain », mais mérite-t-il réellement cette étiquette ?Pour dérouler et décoder l’histoire du wax, Jean-François Cadet reçoit Anne Grosfilley, anthropologue et consultante pour des entreprises et des créateurs. Elle publie aujourd'hui, après Afrique des textiles, et Wax and co, devenus des ouvrages de référence, WAX, 500 tissus, aux éditions de la Martinière.
Reportage de Vincent Dublange sur le musée Zoma d'Addis-Abeba. Le dernier né des lieux culturels de la capitale éthiopienne est un véritable havre de paix et vient tout juste d'ouvrir ses portes.