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Les journalistes gambiens sont aujourd’hui libres d’exercer leur métier, sans peur de finir en prison ou de disparaître après une arrestation. Mais les contraintes techniques qui pèsent sur la presse gambienne n’ont, elles, pas changé. Et notamment en ce qui concerne l’impression de la presse écrite, qui représente un poids considérable dans le budget des journaux. Faute de moyens, les rédactions doivent travailler avec de vieilles machines qui tournent toute la nuit.