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Direction la Corée du Sud, qui est l’un des derniers pays développés où l’avortement reste interdit par la loi. En théorie, l’avortement n’est autorisé que lors de cas exceptionnels, suite à un viol, par exemple. En pratique, il a été toléré par les autorités pendant des décennies. Mais depuis que la natalité sud-coréenne s’effondre – 1,17 enfant par femme, taux parmi les plus bas du monde – le gouvernement cherche à faire respecter la loi, provoquant la colère des associations féministes, qui s’inquiètent des conséquences pour les femmes, et qui demandent la légalisation de l’avortement.