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A Nairobi, le réseau de transport public a de quoi dérouter les nouveaux arrivants. Dans la capitale kényane, il est opéré par les matatus, des minibus privés dont les lignes, horaires et arrêts semblent totalement anarchiques pour qui n’est pas initié. Il n’existe pas de carte ou de site internet donnant accès à ses informations. Mais peut-être plus pour longtemps. L’entreprise sud-africaine Where Is My Transport vient de passer 12 jours dans la capitale kényane pour récolter un maximum d’informations sur le réseau et mettre ces données à disposition.