Au fil des ans, la population d’étrangers, Roumains et Angolais notamment, de personnes avec de graves difficultés (jeunes chômeurs, handicapés physiques ou mentaux) a augmenté.
Tor Bella Monaca est aussi devenu la première place du marché de la drogue romain. Le quartier est dominé un peu partout par de jeunes familles de trafiquants qui font la loi.
Bref, une cité-dortoir très sensible, « coupée du monde », mais dont nombre d’habitants n’ont pas perdu l’espoir d’une vie différente, respectueuse de leur dignité, d’un avenir plus sain et plus prometteur pour les enfants. Cela grâce aux ONG et associations qui sont présentes et tentent de combler les vides de l’État, de la Région, de Rome.
Le quotidien La Croix s’associe toute la semaine à RFI pour célébrer les 60 ans d'ATD Quart Monde. Vous pouvez retrouver chaque jour un prolongement de ce reportage sur le site du quotidien : Assunta, mère courage de Tor Bella Monaca.