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Avancée du désert, inquiétude sur un éventuel manque d'eau, le réchauffement de la planète perturbe également l'écosystème oasien du sud du pays. Dans cette région, les habitants cultivent quasi-exclusivement le palmier dattier, le seul à résister à la chaleur et aux 120 jours de vent par an. Mais si cette culture est l'une des principales sources de revenus, les agriculteurs s'intéressent peu aux enjeux de la biodiversité. La filière bio, par exemple, est encore minime. Reportage entre Douz et Kebili, deux villes aux portes du désert.