« Le peuple gambien a déjà voté. Yahya Jammeh a accepté les résultats, ils n’ont pas été contestés par lui, il a félicité son challenger, et le pays était en train de commencer la transition... La page Jammeh a commencé à être tournée, et une semaine après, il fait volte-face... Cette décision menace la paix et la sécurité du pays, et nous pensons que toute la communauté internationale doit s’y opposer fermement et le faire partir immédiatement avant qu’il ne déstabilise le pays. Je vous rappelle que la Cour Suprême, dont il fait référence, n’est pas une Cour fonctionnelle. Il n’y a pas de juge devant cette Cour. [Yahyah Jammeh] est juste en train de gagner du temps. »