Il espérait 25 investitures « prenables » et ne s’en est vu attribué que 11 par les quatre autres partis membres de l’alliance Houphouetiste. Du coup, le bureau politique de l’UPDCI claque la porte et le ministre quitte la scène.
« J’ai appris mon limogeage par le président de la République lui-même à l’occasion d’une convocation au Palais. Le président m’a dit qu’il mettait fin à mes fonctions et l’intérim serait assuré jusqu’à l’organisation des législatives (…). Nous n’avons pas démissionné, nous avons un désaccord sur les législatives. Chacun a pris acte du fait que nous ne nous entendons pas… »