« La jeunesse comorienne a envie de dire au monde que nous ne sommes pas condamnés, nous ne sommes pas bannis. Nous sommes des jeunes qui nous sentons méprisés par nos propres dirigeants. A un moment donné, il faut penser à nous. Parce que nous faisons une guerre silencieuse, nous faisons une guerre sans les bruits de balles. Y a des gens qui meurent sans les armes. C’est tout un système qui les tue. »