En Indonésie, les exécutions sont organisées dans une «confusion générale»

L’appel du secrétaire général de l’ONU n’a pas été entendu, l’Indonésie a exécuté plusieurs condamnés à mort hier. Quatre hommes qui avaient été reconnus coupables de trafic de drogue. Dix autres condamnés ont été épargnés - on ne sait pas pour combien de temps - dans des circonstances plutôt confuses. Que sait-on de ces hommes qui ont été passés par les armes ? Quelles sont les circonstances de ces exécutions ? Quel sort est-il réservé aux autres condamnés ? Sophie Boisseau du Rocher, chercheur associé à l’Institut français des relations internationales, est l’invitée de RFI.

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