« Ce qui m'intéresse, c'est la faculté qu'a une minorité qui est baignée dans un océan de conformisme (....) de dire : " On existe malgré tout ", quand ils sont dans un univers où la loi principalement (...) les exclut et ne veut pas d'eux. »
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Notre invité du jour est photographe indépendant. Successivement basé en Tanzanie, au Nigeria, au Soudan, au Tchad et maintenant en Ouganda, son nom est Frédéric Noy. Ses récits photographiques s'attardent sur les creux de l'actualité, sur des histoires anodines délaissées, et sur l'existence de populations prises dans l'engrenage de conflits ou socialement exclues et stigmatisées. Il est à l'affiche du festival international du photojournalisme Visa pour l'image, à partir du 27 août 2016 à Perpignan.
« Ce qui m'intéresse, c'est la faculté qu'a une minorité qui est baignée dans un océan de conformisme (....) de dire : " On existe malgré tout ", quand ils sont dans un univers où la loi principalement (...) les exclut et ne veut pas d'eux. »