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Alors qu’une commission parlementaire a approuvé lundi soir un rapport non contraignant préconisant la poursuite du processus de destitution de Dilma Rousseff, la balle est maintenant dans le camp de l'assemblée plénière des députés, qui se réunira à partir de vendredi dans un climat d'extrême tension. La présidente brésilienne de gauche est accusée par l'opposition d'avoir maquillé des comptes publics. Décryptage avec Philippe Faucher, politologue, chercheur au Centre d'études et de recherches internationales de l'Université de Montréal (CERIUM), et spécialiste du Brésil.