Déchéance de nationalité : droite et gauche se renvoient la responsabilité de l’échec.

Après quatre mois de vifs débats ayant notamment déchiré la gauche, François Hollande a enterré jeudi la révision constitutionnelle qu'il avait initiée après les attentats de novembre et qui s'est abîmée sur la déchéance de nationalité. Le Premier ministre, Manuel Valls, a dénoncé la droite sénatoriale et « une partie de la gauche » dans cet abandon, estimant que des « considérations politiques » avaient eu le dessus sur la « volonté d'unité ». L'analyse de Bruno Jeambart, politologue, directeur général adjoint d'Opinion Way.

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