« Cette crise a divisé l'opinion aussi bien à l'intérieur de la Côte d'Ivoire que dans les pays de la sous-région et même au-delà. On n'était pas d'accord sur le fondement juridique ou sur l'intervention des forces extérieures.
(…) Cela pose une fois encore le problème de la CPI et le sentiment qu'elle donne aujourd'hui de ne pas être en mesure d'être équitable, dans la façon d'intervenir dans les crises qui secouent nos pays africains. Naturellement en Côte d'Ivoire, aujourd'hui, le sentiment c'est comme s'il n'y avait juste qu'un seul camp qui était devant la CPI. »