L'objectif de «protéger la sécurité alimentaire», de «venir à bout de la faim» et de «protéger la vulnérabilité particulière des systèmes de production alimentaire face aux effets néfastes des changements climatiques» figure dans le préambule de l'accord de Paris. Mais, comment agir sur le terrain pour garantir aux paysans du Sahel qui dépendent de la qualité de leurs terres pour vivre qu'ils pourront rester chez eux ?
Exemples de solutions avec :
- Patrice Burger de l'ONG Cari - Rémy Hémerick, délégué général de SOS Sahel - Aïcha Mahmadou, coordinatrice de l'initiative 3N au Niger - Jean Sibiri Zoundi, administrateur principal du Club du Sahel - Professeur Abdoulaye Dia, secrétaire exécutif de l'agence panafricaine de la grande Muraille verte.