« Oui, ces manifestations sont déjà palpables par la perturbation climatique même. Les saisons de pluie ne sont plus si cycliques que cela. Nous avons des périodes plus caniculaires que d’habitude, avec de temps en temps des précipitations qui entraînent des inondations exceptionnelles, comme au mois de juin dernier. […] J’ai l’habitude de dire que Douala vit avec l’eau, donc nous devons améliorer nos rapports avec l’eau. […] Il y a un projet “Douala ville durable”, que nous sommes d’ailleurs venu soutenir ici, à la COP21, à Paris. Et je suis heureux d’annoncer qu'il y a eu un dénouement favorable, le financement est déjà pratiquement acquis… »