Angola: pour Michel Cahen, «le pouvoir, c'est la présidence»

Ils sont en prison pour certains depuis près de cinq mois en Angola, et leur procès qui s'est ouvert lundi 16 novembre est suivi de près par les ONG de défense des droits de l'homme. Dix-sept jeunes opposants accusés de préparer une rébellion et un attentat contre le chef de l'Etat pour s'être simplement réunis autour d'un ouvrage sur la désobéissance civile. Pour en parler, Michel Cahen, historien spécialiste de l’Afrique lusophone, est l'invité de Nathalie Amar. 

« Quand on voit la gravité des accusations avec la minceur des faits réels, c'est complètement abracadabrant ! »

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