« (…) Même si les élections se sont déroulées dans le calme, on n’a pas encore retrouvé la sérénité qui doit prévaloir dans une démocratie (…). Il faudra donc, pour cela restaurer la justice et lui donner davantage la parole puisqu’il y a beaucoup de procès qui n’ont pas été conduits (…). Il y a évidemment les retombées sociales de la croissance parce que le président Ouattara avait choisi de sortir de la crise par le développement économique (…). Il faut donc accélérer quelques réformes qui sont en cours. Et puis au plan politique, le chantier que le président a envisagé d’entreprendre sur la révision de la Constitution sera un moment important du prochain quinquennat ».