« C’est une incompréhension de la réalité sur le terrain. Les violences intercommunautaires qui ont éclaté le 26 septembre ont pris pratiquement par surprise l’ensemble de la communauté centrafricaine mais aussi l’ensemble des partenaires de ce pays. Notre réponse se fait précise, forte, et je crois, en même temps que nous déplorons le nombre extrêmement important, 61 morts et près de 300 blessés, la question qui peut se poser c’est qu’en serait-il si la Minusca et ses partenaires, Sangaris mais aussi, il faut le souligner, les forces de sécurité intérieures centrafricaines, n’avaient pas été à pied d’œuvre pour tenter d’arrêter cette folie ? »